« Phnom Penh regorge de petits paradis, impasses, ruelles, petits canaux silencieux donnent au voyageur que je suis des moments de grâce… On pense se trouver dans un quartier où les immeubles surgissent, où les 4×4 rugissent d’une arrogance diabolique, mais il existe de part et d’autres des boulevards des pochettes surprises, coincé entre le jouet et le bonbon un petit carat à polir, à aimer. L’air s’y faufile entre les rires des enfants, les familles s’activent à la cuisine, nettoient les trottoirs, les petits métiers y sont légion. Ces petits fils hors du temps hélas ne résisteront pas à l’appétit que possède l’ogre aux poches gonflées de billets verts… De grâce, de grâce monsieur le promoteur… »